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mercredi 14 février 2018

Il y a des jours où l’écœurement nous submerge


nausée



Parfois des colères vous envahissent, des sentiments nous assaillent et des idées mortifères nous montent à l’esprit.

Il y a des actes que l’on ne peut pas pardonner, ni même excuser !
La mort d’un enfant, la violence gratuite envers des femmes et des personnes faibles, les mutilations d’un animal font partie de ces actes insoutenables et inexcusables.
Je suis de nature pacifiste.
Ma réflexion est plus rapide que mon agressivité, mais en ce moment, j’ouvre de moins en moins cette lucarne qui déverse ses tombereaux d’ordures télévisées.

Si juste à côté, il y avait un système de traitement efficace des déchets, un système faisant le nettoyage, réparant les blessures, remerciant celui qui aide, secours, permet que la vie puisse continuer, j’aurai encore quelques espoirs !
Rien de tout cela à l’horizon.
Aucune voiture balai, aucun serviteur utile pour sanctionner, soigner, réparer notre société malade de ses petites lâchetés journalières.

Des femmes se font agresser et nous entendons les bonnes âmes affirmer que certes, ce n’est pas bien, qu’il faut sévir, en élargissant les trottoirs par exemple, en expliquant que la femme est l’égale de l’homme à des abrutis qui sont convaincus que ce sont des sous êtres, des sacs de sable pour ce faire les poings, des ventres à engrosser, ou des « champs de labours » que l’on peut utiliser comme bon le souhaitent les hommes.

Il y a des femmes qui envahissent nos contrées et s’habillant comme des soumises, persuadées que c’est un signe de liberté, un droit de la femme, et elles se pavanent comme des étendards.
Parmi celles-ci, il y a des femmes noires qui sont tellement incultes, qu’elles ne savent mêmes pas que leurs ancêtres africaines ont été mises en esclavage parce que noire !
De servantes sexuelles aux maîtres islamiques, elles sont devenues des servantes de seconde zone dans l’islam.
Deux fois esclaves, ce n’est pas rien dans une lignée familiale !

Il y a cette violence qui s’installe chaque jour.
Des agressions multiples qui vont de pairs avec la lâcheté des réponses judiciaires.
La police fait son travail, la justice dit faire le sien.
La police tente de faire cesser les agressions, les vols, les viols et fait son boulot de voiture balai.
La justice examine les ordures, établit des statistiques, considère, soupèse et demande des explications multiples puis, sous l’afflux de nouvelles livraisons, elle finit par libérer, et cherche des raisons « justiciables » pour justifier les libérations.

Ainsi donc, nous avons les immondices qui s’accumulent, les déchets et les ordures qui s’amoncellent, et les balayeurs de la société qui tentent de faire leur travail de nettoyage, avec en suivant, des centres de dépôts où les ordures s’échappent facilement pour mieux revenir à leurs places d’origines, sur les trottoirs et devant les halls des immeubles.
Nos innocents locataires et ceux qui restent de propriétaires vivant dans les cités, les revoient avec désespoir devant leurs portes, collés comme des chewing-gums dans les halls des immeubles.
 
chances-battant-homme-blanc
 
Il y a cette violence gratuite dont on efface les noms des auteurs, comme cet homme battu à mort dans Cambrais.

Il était au RSA !
Il avait retiré une somme dans un DAB. C’est à quatre qu’ils se sont attaqués à cet homme de soixante ans.
Lâches, hyènes haineuses, assoiffés de vols.
Ils auraient chacun une vingtaine d’années !
Elle est belle cette représentation de la jeunesse.
Cet exemple des veules qui s’attaquent un pauvre homme sans le sous ou presque.
 
Les images de la caméra de surveillance installée à proximité de cette rue tranquille du centre-ville, à deux pas de la grande place, montrent quatre individus autour de la victime, qui circulait à vélo.
Les coups pleuvent.
Un déchaînement de violences, avant que les auteurs ne prennent la fuite.

Que dire de ces journalistes qui obéissent à la doxa du vivre ensemble qui consiste désormais à travestir, à mentir, à amoindrir les faits et puis à les oublier très vite !
 
Il s’agit de deux jeunes Cambrésiens de 18 et 20 ans

Inutile de vous faire une traduction !
Nous savons déjà qu’ils ne s’appellent pas Pierre, Paul, car le journaliste se serait lâché !

Leurs deux comparses (Denis ou Jacques ?) sont évidemment toujours recherchés.
L’enquête doit permettre de déterminer la part de responsabilité de chacun, dit le journaliste.

C’est tellement important de savoir lequel a donné le plus de coups de pieds, de poings ?
Il semble que le plus important serait de connaître « les raisons de cet acte ».
 
Crise de démence collectives, phobie du vélo sur lequel était le soixantenaire, une phobie des vieux, et que sais-je encore !
C’est important n’est-ce pas, de savoir les raisons de ce déséquilibre groupé.
Le journaliste s’autorise à faire un constat !
 
L’argent retiré au distributeur par la victime a été retrouvé sur elle.
 Circonstance atténuante, libération assurée après un rappel à la loi !
On tremble pour ces quatre ordures !

 
issenou


Comment ne pas être outré par cette information : Issenou Sacko, 26 ans, ne sera sans donc jamais jugé après avoir tué quatre personnes fin décembre 2016 dans la Drôme et dans le Vaucluse.
Le Beauvaisien,(ne souriez pas surtout) qui souffre de psychose, a fait l’objet d’une contre-expertise psychiatrique qui confirme son premier examen : vu son état mental au moment des faits, les médecins pensent qu’il doit être déclaré irresponsable.
 
Au moment des faits ?
Il pourra recommencer et se prémunir de ce constat !
Alors chaque jour, quand je lis ces horreurs nationales, ou internationales, je comprends mieux cette vieille dame que je visitais dans une maison de retraite, lorsque j’étais encore conseiller municipal.
A ma question bateau :comment allez-vous, elle me répondait invariablement qu’elle avait hâte de quitter ce monde de fous !

J’en suis encore à rêver d’autorité, de sécurité, de liberté, tout en sachant que ces qualités ont déserté le monde politique, les préoccupations des Maires, les soucis des Députés et Sénateurs, parce que ceux qui nous dirigent, n’ont jamais vu un trottoir, un hall d’immeuble avec tous ces chewing-gums collés aux semelles de leurs chaussures !
Ils ne passeront jamais le karchër parce qu’ils ont peur de l’incendie, parce qu’ils sont lâches par nature !

Ces comportements aboutiront à la création de groupe de vigilants et de milices qui finiront un jour, par comprendre de quelle nature sont ceux qui gèrent leurs villes, départements et régions !
Le réveil sera dur avant peu !

Aujourd’hui, nous avons la 11 iém Brigade de Parachutiste (BBS) réputée dans le monde entier, des légionnaires du REP dont il est inutile de souligner la bravoure, nous avons des troupes d’interventions capables de rétablir l’ordre au Mali, et dans n’importe quel coin du monde, des soldats capables d’être sur le terrain des combats en 24 heures (Opération Guépard), et pourtant, nous avons des gouvernements incapables de rétablir l’autorité sur des zones de non droits en France.
 
Il n’y a pas de liberté, d’égalité sans sécurité !


Gérard Brazon

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